🚢 Pour se rendre sur les Îles du Salut, vous devrez réserver votre traversée chez l'une des nombreuses compagnies maritimes. Comptez entre 45 et 50 € / personne pour l'aller-retour au départ de Kourou. Sur l'Île Royale, le débarquement se fait au niveau du ponton principal.
Île RoyaleGF

Comment y aller ?

Difficulté

Très facile|D+ 40 mD- 40 mAlt. max 30 mVoir le dénivelé

Accessibilité

Cette randonnée n'est pas recommandée pour les personnes en fauteuil roulant ou mal-marchantes

Type de chemin

Naturel

(Chemins & sentiers de randonnée)

Gravillonné

(Routes gravillonnées, chemins de remembrement)

Goudronné

(Rues, Routes)

Inconnu

Vous verrez

Point de vue
Forêt
Animaux sauvages
Animaux de la ferme
Océan / Mer
Monument historique
Boutique
Bar / Restaurant
Glacier (boutique)
Mémorial
Bagne

Facilité(s)

Toilettes
Points d'eau
Tables de pique-nique

Vous avez dit "déconnexion nature" ? Ne cherchez plus, les Îles du Salut sont là pour vous. À une quinzaine de kilomètres des côtes, cette randonnée vous propose de faire le tour de l'une d'elle, l'ïle Royale, la plus grande.

Au programme, des points de vue sur l'Île Saint-Joseph et l'Île du Diable (ancien lieu de détention de Dreyfus), les tristes vestiges du bagne (anciens ateliers, piscines de bagnard, transbordeur...) et des rencontres régulières avec des agoutis ou des capucin bruns. Soyez attentifs, vous verrez aussi certainement des tortues de toute taille à la surface de l'eau, voire même des dauphins !

Bonne rando 🙂

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Étapes et Balisages

de l’itinéraire est balisé, mais ça reste une belle rando !

	Au départ du ponton, entamez le tour de l'île par la droite. Alors que vous montez légèrement, jetez un oeil à droite sur l'île Saint Joseph et le bras de mer qui vous sépare : des tortues naviguent souvent dans ce coin.
	Vous arrivez au niveau de l'ancien atelier des travaux du bagne (1856-1870). Poursuivez le tour de l'île.

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	Environ 400 m plus loin, vous arrivez au niveau de l'ancien abattoir qui fait face à la mer et à l'Île du Diable. À l'époque du bagne, il ne faisait pas bon traverser ce bras à la nage : en plus des courants et des récifs peu accueillants, il était infesté de requins à cause des rejets de l'abattoir. Le vestige d'un des bras du transbordeur servant à transporter du matériel entre les 2 îles est encore visible sur le bord du chemin.